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m. 24 Jan 1888 Chambly (St-Joseph), QC, Canada
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De 1900 à 1908, ils résidaient au 404 Délisle à St-Henri. En 1901, la famille d'Éric habitait le 404 rue Délisle à Ste-Cunégonde de Montréal. Il semble qu'Éric ne savait pas lire ni écrire le français. On indique par contre qu'il savait parler anglais. On y apprend de plus qu'il aurait travaillé durant les 12 mois de l'année pour des gains annuels de 300$ grâce au fruit de son métier de menuisier durant l'année 1900. Qu'il travaillait à la maison et qu'il était employé. De 1909 à 1915, ils résidaient au 172 Workman à Montréal. De 1916 à 1917, ils résidaient au 555 Albert à Montréal. De 1917-1918, ils résidaient au 10 St-Philomène entre Ste-Marguerite et St-Philippe dans le quartier St-Henri à Montréal (Marguerite travaillait chez Tooke Brothers Co (vêtement chemise d'homme)). à titre de Forlady.) De 1919-1920, ils résidaient au 102 Cazelais, dans le quartier St-Henri à Montréal. De 1921 à 1927, ils résidaient au 348 St-Ferdinand à St-Henri, chez sa fille Marguerite. Plus tard, suite à la renumérotation des adresses, cette dernière portera le 1016 St-Ferdinand. C'est Éric et sa femme qui auraient aménagé à cet endroit en 1921, avant le décès d'Élisa en septembre 1921. À la suite de la mort de cette dernière, c'est de cette façon qu'Adrien informa son futur beau-père de ne pas briser ménage. Il proposa de marier sa fille Marguerite et de prendre le logement et de l'abriter. C'est de cette façon qu'Adrien fit sa grande demande. Marguerite eu également sa grande surprise car elle n'avait pas encore été informé des intentions d'Adrien! De 1928 jusqu'à son décès en février 1929, il résidait au 138 Workman entre Fulford et Dominion, chez sa fille Marguerite. En 1929, suite à la renumérotation de cette rue entre autre, cet adresse sera dorénavent le 2220 Workman à Ste-Cunégonde. D'ailleurs, c'est en ce logement qu'Éric fut exposé pour ensuite quitter pour ses funérailles en l'église de la paroisse Ste-Cunégonde et finalement être, par la suite conduit à son dernier repos au cimetière. Lors des naissances de Roméo, Fernando, Marthe-Antoinette, Blanche-Alice, Félix-Raoul, Marguerite et de Georges, ils habitaient toujours dans la paroisse de St-Joseph de Chambly. Histoire administrative de Chambly: Le territoire chamblyen est issu de la seigneurie de Chambly accordée en 1672 à Jacques de Chambly, capitaine du régiment de Carignan de 1665 à 1668 au Fort de Chambly. Cette seigneurie comprend les municipalités actuelles de Chambly, Carignan, Saint-Mathias, Richelieu et Saint-Basile-le-Grand. En octobre 1673, les premiers censitaires s'installent sur le territoire. L'érection canonique de la paroisse a lieu en 1721. L'évêque de Québec, monseigneur de Saint-Vallier érige canoniquement Chambly en paroisse sous le patronage de saint Louis. En 1722 a lieu l'érection civile de la paroisse, alors que le roi de France ratifie l'ordonnance du conseil de la Nouvelle-France sous la signature de MM. de Vaudreuil, gouverneur, et Bégon, intendant. En 1739, deux paroisses sont érigées sur la seigneurie et deux chapelles sont construites. Jean-Baptiste Renaudet et son épouse, Madeleine Ménard, offrent un terrain de trois arpents de profondeur un arpent de largeur pour la construction de la première église. D'après la tradition, cette première église, proprement paroissiale, est en bois et s'élève à l'endroit où se trouve le monument de tempérance élevé en 1841 par monseigneur Forbin-Janson, évêque de Nancy. Le 24 novembre 1739, la chapelle sous le vocable Saint-Joseph est bénite par Louis Normand, supérieur de Saint-Sulpice, accompagné de son vicaire, l'abbé Chèze, et du père Michel Levasseur, aumônier pour le roy au fort Pontchartrain (Chambly), missionnaire qui devient curé de Saint-Joseph et desservant de La Conception de la Pointe-Olivier (Saint-Mathias) dont la chapelle est bénite le même jour. Le 1er juillet 1845, la municipalité de la paroisse Saint-Joseph de Chambly est créée couvrant le territoire des actuelles villes de Chambly et de Carignan, ainsi qu'une partie de Saint-Basile-le-Grand. En 1847, le gouvernement décide que les municipalité de comté font loi et créé la municipalité du comté de Chambly. Le 26 octobre 1848, la municipalité de Chambly Canton est détachée de la municipalité du comté de Chambly de par son industrialisation plus rapide que le territoire bornant le bassin, composé surtout d'agriculteurs. Le 19 avril 1855, la municipalité de Chambly Bassin est à son tour détachée de la paroisse Saint-Joseph de Chambly, qui redevient une municipalité en juillet 1855. En 1757, une nouvelle église est construite en pierres à l'endroit précis où s'élève l'église actuelle. Monsieur Carpentier, curé, dirige les travaux. Le Récollet Berrey, aumônier pour le roy au fort Saint-Louis la bénit. Le vicaire général, Michel Peignet, vient à Chambly en 1764 pour y bénir une cloche de 340 livres. Le père Berrey est, à cett date, curé de la paroisse. Malheureusement cette église est incendiée en 1806. Monsieur Bédard, alors curé, entreprend la reconstruction de l'église sur les ruines de l'ancienne. Pendant que les offices de la paroisse se déroule dans un hangar, les travaux de la construction de la troisième église progresse. Le 29 juillet 1807, monsieur Robitaille, curé de la Pointe-à-Olivier, fait le baptême d'une cloche de 407 livres, sans le battant et le mouton. Elle reçoit le nom de Marie-Anne, son parrain est le curé Bédard et sa marraine Marie-Anne Baby, veuve de sieur Boucher de Niverville. Et le 24 octobre 1810, l'église elle-même est bénite par M.P. Fréchette, curé de Beloeil, sur permission donnée par monsieur Connefroy, vicaire général. Cette église est incendiée à son tour à cause de la foudre tombée sur le clocher dans la nuit du 4 au 5 juin 1880. Encore une fois, l'église est reconstruite sur les ruines de la précédante par les architectes Bourgeau et Leprohon de Montréal et l'entrepreneur François Archambault de l'Assomption. Elle est cependant allongée de 36 pieds sur le devant, ce qui lui donne 160 pieds de longueur tandis que les murs sont rehaussée. ils ont 30 pieds du dessus des lambourdes jusqu'à la sablière. Sa largeur donne 48 pieds. La nouvelle façade est en pierre de taille et les murs en "pierre de course". Elle est ouverte au culte et bénite le 20 novembre 1881. Douze ans après sa construction, soit le 25 septembre 1894, monseigneur Charles-Édouard Fabre, archevêque de Montréal, en fait la consécration. La consécration de l'église donne lieu à de grandes manifestations organisées sous la direction du curé Charles-Médéric Lesage. La voûte et la décoration sont réalisées par D.A. Beaulieu, une chaire ornementée et trois nouveaux autels enrichissait son intérieur et un orgue Casavant de 17-jeux loge au jubé. Le 9 août 1896, monseigneur Paul Larocque, évêque de Sherbrooke, fait la bénédiction d'un carillon de trois cloches fondues à Londres, en Angleterre, pesant respectivement 1371, 1035 et 871 livres, baptisées sous les noms de Joseph-Léon, Édouard-Charles et Charles-Médéric. L'église offre à la piété des fidèles deux grandes toiles, au-dessus des autels latéraux. À gauche, c'est La Madone du Rosaire, avec sainte Catherine et saint Dominique tandis qu'à droite, c'est L'éducation de la Vierge. Ces deux tableaux datent de 1891 et 1892 et sont signés Sinaï Richer. Autres oeuvres d'art, les deux verrières du transept, composées chacunes de trois vitraux : à gauche, saint Nicolas, avec saint Charles Borromée et saint Henri, à droite, sainte Marguerite, figure centrale, avec sainte Cécile et sainte Hermine. Sur le gazon, place de l'église, tout juste au bord de la baie et de l'autre côté de la rue Martel, la statue du Sacré-Coeur, qui a remplacé la croix de tempérance qu'a planté monseigneur Forbin-Janson, évêque de Nancy en juin 1941. Cette statue est étigée en 1915 à l'occasion des fêtes du 250e anniversaire de la fondation de Chambly. La chorale Saint-Joseph et la famille Dorval occupent aussi une place importante dans la paroisse de Saint-Joseph-de-Chambly. En 1939, la paroisse Saint-Jospeh se dote d'un orgue Casavant à 17-jeux d'une belle sonorité. Pour l'inauguration de cet instrument, le curé Laporte invite ses paroissiens à un concert donné par le titulaire, Georges Dorval. Le programme comprend des oeuvres de Bach, Schubert, Clérambault et Joseph Bonnet. La chorale chante aussi un salut au Saint-Sacrement soigneusement préparé. Georges Dorval, titulaire à l'orgue, est né à Joliette et il étudie pendant trois ans à Boston, au New England Conservatory of Music. Son épouse, Alma Lemieux, est aussi une grande musicienne et, à l'occasion, remplace son époux à l'orgue. Ses deux filles, Claire et Berthe, sont aussi des musiciennes de renom. Claire a étudié avec Germaine Malépart. Elle est boursière en 1951 et obtient le premier prix du Conservatoire de musique de la province de Québec. Elle est aussi l'élève de Jules Gentil, de Paris, et donne des récitals à Montréal dans les années 1950. Sa soeur Berthe est gagnante du prix d'Europe. La famille Dorval est une famille de grands musiciens qui a beaucoup fait pour la musique à Chambly. Georges Dorval, maître de chapelle à Saint-Joseph forme une chrorale avec des paroissiens volontaires au nombre de 25, qui font les beaux dimanches à la grand-messe de 10 heures, chantée en grégorien et aux fêtes de Noël et de Pâques. Monsieur Dorval est titulaire de l'orgue de 1940 à 1964, jusqu'à son décès, à l'âge de 70 ans. En 1954, Claire et Berthe deviennent ses assistantes, et ce, jusqu'en 1964. Claire est décédée le 12 avril 1989. Après le départ de monsieur Dorval, la relève est faite par madame Francine Lavallée, à l'orgue, de 1965 à 1972 et le directeur de la chorale est monsieur Jean-Louis Dubuc, de 1965 à 1972. Pour les mariages et les funérailles, madame Dolorès Lavallée est organiste jusqu'en 1984. En 1972, l'ère des grandes orgues prend fin. Un orgue électrique est installé en bas de la nef. L'orgue principal ne sert qu'à la demande de certains paroissiens. Les personnes qui ont joué de l'orgue électrique sont M. Talbot et Mme. Hudon. References
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