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m. 17 Feb 1824 St-Mathias-sur-le-Richelieu, QC, Canada
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Children
La famille Ouimet-Brillon a vécu en grande partie sur le territoire de St-Césaire. Dans les mois succédants leur mariage à St-Mathias dont ils sont tous deux originaire, jusqu'à leur mort, c'est en cette localité que Constant sera porté en terre. Pour sa part Marie-Anne le sera à Chambly sans doute. Durant plus de 50 ans, ce couple aura travaillé la terre à la sueur de leur front afin de subvenir aux besoins primaires de la famille. Seulement 3 enfants furent répertoriés dont seul mon arrière grand-père survivra. Les 2 autres enfants furent des jumeaux qui décédèrent le lendemain de leur naissance. Le recensement de 1831 nous renseigne sur le lieu précis d'où était établit la terre du couple Ouimet-Brillon. On nomme ce lieu le rang Double à Saint-Césaire. Ils habitaient une maison encore en construction et possèdaient 2 bêtes à cornes, 7 moutons et 2 cochons. En septembre 1834, Constant est répertorié comme contribuant pour la somme de 12 livres pour une année d'enseignement à l'égard de Thimothé Durocher qui s'engage à faire la classe à Louis Ouimet et à 21 autres écoliers dans le VIe arrondisement. Le recensement de 1851 précise le type de bâtiment de leur résidence. Il est dit qu'ils habitaient une maison d'un étage fait en bois à St-Césaire. Tout porte à croire qu'il s'agisse du même bâtiment en construction en 1831. St-Mathias-sur-Richelieu autrefois nommé St-Mathias fut le berceau de ce couple. Tous deux, en plus d'y naître, y ont passé leurs années de jeunesse jusqu'au moment de convoler en juste noce. D'ailleurs, leur seul enfant leur ayant donné une progéniture y a vu le jour. Constant et son épouse semblent avoir vécu une vie paisible en ces terres de la belle vallée du Richelieu. Aucun fait troublant ou empreint de discordes ne fut localisé les identifiants. Seul quelques actes notariés furent localisé. Aucun d'eux n'implique de quelconques mésententes ou différents. Louis, leur fils, semble à son tour avoir suivi les trâces de son père en ce qui à trait la terre, la cultivant et en récoltant les fruits. Toutefois, les comparaisons semblent s'arrêter ici car Louis sera le père de 17 enfants issues de 2 mariages. Ceux du premier lit essaimeront tous aux États-Unis, sauf l'aînée Marie-Sophie qui semble avoir passé toute sa vie à St-Césaire. Pour ses frères et soeurs, c'est plus précisément à New Bedford dans le Massachussetts qu'ils vivront et y fonderont famille. Les fils semblent avoir délaissé la terre afin d'exercer divers métiers. Malgré ce fait, tous, sans exception prendront un ou une francophone comme époux ou épouse. Du deuxième lit, quelques-uns prendront également le bord des États et de New-Bedford. Seul l'aînée des fils, soit mon arrière grand-père Éric et 2 de ses soeurs demeureront en sol québécois et feront souche. Éric est le seul des 17 enfants de Louis qui perpétuera cette lignée de Ouimet issus de St-Césaire tout en ne s'expatriant pas. Éric fondera famille qui s'établiera à Chambly pour plusieurs années pour ensuite venir s'établir sur l'île de Montréal dans le sud-ouest au tournant du 20e siècle. Suite au décès de son épouse en 1921, Éric demeurait dans le quartier St-Henri, soit au 348 St-Ferdinand. En se mariant, sa fille Marguerite (ma grand-mère) prendra ce même logement et abritera Éric jusqu'à son décès. References
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