Person talk:Otto Ossent (1)

[7 March 2013]

https://familysearch.org/pal:/MM9.1.1/N6N7-8Y5

SANKT MARIEN,BERLIN STADT,BRANDENBURG,PRUSSIA--henk 09:09, 7 March 2013 (EST)

[7 March 2013]

5. Nr. Kupfererzconcession von L'Allée. Diese Concession ist durch H. Adolph Ossent auf seinen Namen genommen; in Wirklichkeit gehört sie aber der Société d'Anniviers und muss daher b

Cette mine est située à deux kilomètres au sud du village deGrimentz, dans la pente de la Pointe de Tsirouc. Les industriels s’y sont intéressés de 1836 à 1945 avec six périodesbien distinctes. Elle a été véritablement exploitée dès 1836 par l’ingénieur Jean-Agathon Raby. Durant les années qui ont suivi, on y a extrait cinq tonnes deminerai de cuivre. Entre 1852et 1854, la Société d’Anniviers d’Ossent et Jürst & Cie perce une galerie à 35 degrés et en tire 80 tonnes de minerai qui fournissent 1,3 tonne de cuivre métal, 32 kilos d’argent et une teneur appréciable en bismuth pour un bénéfice de 24 00 francs de l’époque.--henk 09:21, 7 March 2013 (EST)

[7 March 2013]

Selon le recensement de 1880, Otto Ossent, originaire de Mase (Val d'Hérens), quoique de langue maternelle allemande, dirigeait l'exploitation des marbres de Saillon. Il était d'origine prussienne (Berlin/Charlottenburg). Selon un dossier conservé dans les archives communales de Vouvry (J 209), déposées aux AEV, engagé pour 6 ans le 7 septembre 1880 par le Conseil d'Administration de la «SA des carrières de marbre antique de Saillon», en qualité de directeur technique, il est congé- dié le 6 septembre 1881, sans aucun avis préalable pour «fautes graves» dans l'exercice de ses fonctions. Dix reproches seront énumérés, qui semblent tous non fondés aux arbitres, de sorte que le 10 juin 1882, le tribunal ordonne à la Société de verser 1 l'OOO francs de dommages et intérêts à M. Ossent. Au nombre des griefs, le point 7 dit: «La Société estime que Mr. Ossent doit être rendu responsable de l'effondrement d'une partie du plafond de la carrière qui s'est produit le 2 août 1881.» Pour répondre à cette accusation, M. Ossent a produit devant le tribunal une lettre (J 209/5) datée du 5 mai 1882, à Aigle, d'un dénommé Croisier: «En réponse à votre demande spéciale relative à la largeur d'attaque inférieure, ni Mr. Baur ni personne ne m'a dit ou fait observer que cette largeur pré- sentait un danger. Il n'est pas non plus dans mon souvenir que Mr. Baur ait émis l'avis de diminuer cette largeur.» Il semble que M. Baur, beau-frère de M. Ossent (Antoinette Beeguer-Baur était la soeur de Stéphanie Beeguer-Ossent), était impliqué dans l'exploitation de la carrière de Saillon... et que les dominicains de Sierre, comme les autres religieux installés en Valais, n'ont peut-être été que l'instrument d'un règlement de compte familial!--henk 09:48, 7 March 2013 (EST)