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Louis Jacques
b.Apr 1664 Amiens, Somme, France
d.20 Feb 1734/35 Charlesbourg, Québec, Quebec, Canada
Family tree▼ (edit)
m. 27 May 1647
(edit)
m. 17 May 1688
Facts and Events
Information from the J.V. Thompson Journals is being extracted & input. The process will take at least two years. Additions/corrections welcome, but I'm slow anwering email due to the large volume received. G. Anjou research USE WITH CAUTION, Jack Newsletter p 6 Fall 1989 Anjou History p 81. Mentioned in Henri deGasque's will dated 11 Jun 1676. Resided in Canada in 1676 Sebastien Jacques" <sebjac@@ivic.qc.ca> Date: Fri, 5 Jun 1998: "J'ai examiné les fichiers et le père de Louis Jacques (23-04-1664, St-Michel d'Amiens France )époux de Antoinette Leroux est bien Nicolas Jacques (1627)Franleu France, époux de Marie Soyer (1662) Picardie France.Et non Louis. De sebjac@@ivic.qc.ca" Note date differences. Died at age 73 Genealogical Tree of the Jacques Family states: [edit] First Generation in Canada."The founder of our family in Canada was Louis Jacques. He was born in the City of Amiens, Province of Picardie, France in 1662 and was the son of Nicolas Jacques and Marie Soyer of Amiens. Louis Jacques came to Canada in 1680 and is the only Jacques who came from france and raised a family in Canada. All the Jacques of Canada, are therefore, descendants of Louis Jacques. Louis Jacques was married on May 17, 1688 at Quebec, to Antoinette LeRoux, who was a daughter of Francois Le Roux and Marie Renaud. Francis Le Roux was a native os senille, diocese of Poitiers, Province of Poitou France, and Marie Renaud was a native of St. Marceau, diocese of Orleans France. There were four children born in this family, all at Quebec. The family afterwards moved to Charlesbourg, a village ten miles from Quebec, and it was at Charlesbourg that Louis Jacques died in 1735, at the age of seventy-three. His wife died at Charlesbourg in 1739, at the age of seventy." Nos Ancestres states: "Louis was born on 23 April 1664 at Amiens, France, from the marriage of Nicolas Jacques and Marie Soyer. He was immediately baptized in the parish church of Saint-Michel, in the shadow of the cathedral of this city. His father, Nicolas, was originally from Franleu, near the mouth of the Somme, a few kilometers from la Manche. The Jacques family seems well established in this village since the marriage contract of Nicolas (27 May 1647) mentioned that he inherited two pieces of land which came to him from his grandfather living at this place. The head of the parish of Franleu was Saint-Martin. The history of France was not indifferent to this village, because it was there that King Louis III settled in 881 with the Francs in order to repel the second invasion by the Normans (Viking) whose hordes were camped quite near, at Saucourt. The year 1992 constituted the 1111th anniversary of the victory of the Francs over the Normans. The Norman invasions did not cease for all that. They resumed the following year. Beginning in 890, however, the invaders had the tendency to settle in Picardy as in Normandy; in 925, Rollon, their leader, was baptized. These newcomers had a certain influence on the evolution of the local population. Was it through the mixing of blood, or otherwise? The fact remains that one can note that the Picard peasants, like those of Normandy, quickly enjoyed an enviable freedom if one compares their fate with their peers elsewhere in France. Serfdom disappeared from these two regions before the year one thousand. Among the facts of the local history of Franleu, let's note the birth in 11464 of Antoinette Mallet, one of the founders of the Grey Sisters of Abbeville, a neighboring community. In the nineteenth century, the Jacques of Québec saw the founding of the Sisters of Charity of Québec by Marcelle Mallet, a Grey Sister from Montréal. A surprising coincidence. [edit] The Origin of a NameThe majority of the present names of the cities and villages of France were set in the nineth and tenth centuries. For example, right after the battle of Saucourt, appeared the name of Franleu, in other words, the place of the Francs. In the same way, family names appeared in the thirteenth century. Until then, only the "first name" received at baptism was counted; little by little, either a surname (sobriquet, trade, place) was added, or the first name of the father, which gradually became hereditary. At the end of the Middle Ages, these hereditary first names were most often Guillaume, Jacques, Jean, Martin, and Pierre. However, another possibility exists concerning the origin of the last name of Jacques; it is that it was given to the rebel Picard peasants (1358) during the captivity of King Jean II during the Hundred Years War. The English occupied Picardy and the French were busy hunting them down. Exasperated by the endless violence and the constant searches for which they had to bear the expense, several peasants turned against the noblemen who sought reap profit from anarchy. We must admit that the latter had provoked them; in addition to making them bear the weight of poverty generated by the war, they had begun two years earlier to ridicule the simplicity of the poor folks and the inability of the peasants to defend themselves. They called them the "Jacques Bonhomme." The expression "jacques" could have remained attached to certain peasant families and become their name over the years.
"Le fondateur de notre famille au Canada était Louis Jacques. Il est né dans la ville d'Amiens, province de Picardie, France en 1662 et était le fils de Nicolas Jacques et de Marie Soyer d'Amiens. Louis Jacques est venu au Canada en 1680 et est le seul Jacques qui est venu de France et qui a élevé une famille au Canada. Tous les Jacques du Canada, sont donc, des descendants de Louis Jacques. Louis Jacques s'est marié le 17 mai 1688 à Québec, à Antoinette LeRoux, qui était une fille de François Le Roux et Marie Renaud. Francis Le Roux était originaire d'os senille, diocèse de Poitiers, Province de Poitou France, et Marie Renaud était originaire de Saint Marceau, diocèse d'Orléans France. Il y avait quatre enfants nés dans cette famille, tous Louis Jacques mourut en 1735, à l'âge de soixante-treize ans, et sa femme mourut à Charlesbourg en 1739, à l'âge de soixante-dix ans. ." Nos Ancestres précise : « Louis est né le 23 avril 1664 à Amiens, France, du mariage de Nicolas Jacques et de Marie Soyer. Il fut aussitôt baptisé en l'église paroissiale Saint-Michel, à l'ombre de la cathédrale de cette ville. Son père, Nicolas, était originaire de Franleu, près de l'embouchure de la Somme, à quelques kilomètres de la Manche. La famille Jacques semble bien implantée dans ce village puisque le contrat de mariage de Nicolas (27 mai 1647) mentionne qu'il a hérité de deux terres qui lui sont venues de son grand-père habitant à cet endroit. Le chef de la paroisse de Franleu était Saint-Martin. L'histoire de France n'a pas été indifférente à ce village, car c'est là que le roi Louis III s'est installé en 881 avec les Francs afin de repousser la seconde invasion des Normands (Viking) dont les hordes campaient tout près, à Saucourt. L'année 1992 constituait le 1111e anniversaire de la victoire des Francs sur les Normands. Les invasions normandes n'ont pas cessé pour autant. Ils ont repris l'année suivante. A partir de 890, cependant, les envahisseurs ont tendance à s'installer en Picardie comme en Normandie ; en 925, Rollon, leur chef, est baptisé. Ces nouveaux venus ont eu une certaine influence sur l'évolution de la population locale. Était-ce par le mélange du sang, ou autrement ? Il n'en reste pas moins que l'on peut constater que les paysans picards, comme ceux de Normandie, ont rapidement joui d'une liberté enviable si l'on compare leur sort à celui de leurs pairs ailleurs en France. Le servage a disparu de ces deux régions avant l'an mil. Parmi les faits de l'histoire locale de Franleu, notons la naissance en 11464 d'Antoinette Mallet, l'une des fondatrices des Sœurs Grises d'Abbeville, une communauté voisine. Au XIXe siècle, les Jacques de Québec voient la fondation des Sœurs de la Charité de Québec par Marcelle Mallet, une Sœur Grise de Montréal. Une coïncidence surprenante. [modifier] L'origine d'un nom La plupart des noms actuels des villes et villages de France ont été fixés aux IXe et Xe siècles. Par exemple, juste après la bataille de Saucourt, est apparu le nom de Franleu, autrement dit, la place des Francs. De même, les noms de famille sont apparus au XIIIe siècle. Jusqu'alors, seul le « prénom » reçu au baptême était compté ; petit à petit, soit un nom de famille (sobriquet, métier, lieu) s'ajouta, soit le prénom du père, qui devint peu à peu héréditaire. A la fin du Moyen Age, ces prénoms héréditaires étaient le plus souvent Guillaume, Jacques, Jean, Martin et Pierre. Cependant, une autre possibilité existe concernant l'origine du nom de famille de Jacques ; c'est qu'il fut donné aux paysans rebelles picards (1358) lors de la captivité du roi Jean II pendant la guerre de Cent Ans. Les Anglais occupent la Picardie et les Français s'affairent à les traquer. Exaspérés par les violences sans fin et les recherches incessantes dont ils devaient faire les frais, plusieurs paysans se retournèrent contre les nobles qui cherchaient à tirer profit de l'anarchie. Il faut avouer que ce dernier les avait provoqués ; en plus de leur faire supporter le poids de la misère engendrée par la guerre, ils avaient commencé deux ans plus tôt à ridiculiser la simplicité des pauvres gens et l'incapacité des paysans à se défendre. Ils les appelaient les « Jacques Bonhomme ». L'expression « jacques » a pu rester attachée à certaines familles paysannes et devenir leur nom au fil des années. [edit] In New FranceA good part of the information at our disposal here is drawn from research notes gathered by Madame Diane Maheu-Jacques, from Charlesbourg. We still don't know when Louis crossed the sea to New France. Let's say only that the merchant François Hazeur, from Québec, was searching for two cabinetmakers in 1685. As he went to Amiens, the village of his origin on business, we believe more and more that it was at this time that Louis was hired and embarked. As a matter of fact, the indenture contracts and "passage" for New France lasted three years. Since Louis had been employed by François Hazeur until 1688, according to what we read in his marriage contract, 1685 is the probable year of his arrival here. Did he work as a cabinetmaker, according to his training, or as a carpenter? Only the indenture contract could inform us of this. However, we are certain, again through his marriage contract, that he lived in the heart of Place Royale, at the home of his master The year of his marriage, 1688, was also that of the construction of the church of Notre-Dame-des-Victories. Did he work there? We can believe so since M. Hazeur was warden of the parish cathedral on whom this construction depended. For now, we know nothing more about it. It was on 17 May at the cathedral of Notre-Dame-de-Québec that he married Antoinette Leroux, daughter of François Leroux dit Cardinal. Her father was a former soldier in the Carignan Regiment. Her mother was Marie Renaud, who had come to Québec as a daughter of the king. A little while later, the new couple settled at Bourg-Royal, where a second town was formed, three kilometers to the east of the first, that of Charlesbourg. Cabinetmaking was not sufficient for Louis to provide for the needs of his family, because four years later, on 21 September 1692, he acquired a concession from Germain Langlois. It cost him one hundred fifty livres. It was within the price range of the place: from 150 to 200 livres per piece of pioneering land, because well-developed, land with house and barn, could be bought for two thousand to three thousand livres. All was paid promptly; in fact, a receipt was given to him in the twelfth month which followed, on 23 September 1693. It concerned forty arpents of land including eighteen workable, with only a barn on it. This land which bordered that of his brother-in-law, Ignace Leroux, who had built a house, and that of Jean Sigouin, on the side which went from the northwest to the southwest of the town plat. The land was part of a star shape which was made up of all those which surrounded the town plat. This is why its dimensions were a half-arpent of frontage on the face, 17 arpents in depth, and 4 arpents of frontage on the back which bordered the lands of the Jesuit priests. On the death of his father-in-law François Leroux, Louis renounced the inheritance in favor of his brother-in-law Ignace Leroux. As compensation, the latter had to furnish him with nine days expenses in order to build a house. The contract was signed on 16 July 1694. Therefore, it would be in this period of their life that Antoinette and Louis were able to have their own house. Their life at Bourg-Royal seems to have passed peacefully, quietly, quite modestly. Louis was absent a few times due to his work. Several churches, therefore, benefited from his talent: let's mention Sainte-Anne-de-Beaupré, L'Ange-Gardien on the Beaupré Coast, and Saint-Pierre on the Ile d'Orléans. He also carried out several contracts at the College of the Jesuits in Québec. In order to give an idea of what he was able to accomplish, the account book of the Fabrique of Charlesbourg reveals that he participated in the interior decoration of this church. In 1707, he worked on the choir; in 1709, he executed a canopy; between 1713 and 1720, he sculpted the altar piece. Ten children were born to Antoinette and Louis: Geneviève, Nicolas, Louis, Pierre, Charles, Marie-Catherine, Anne, Marie-Madeleine, Thomas, and Marie-Thérèse. Four would be victims of infant mortality: Geneviève, Charles, Thomas and Marie-Thérèse."
Une bonne partie des informations dont nous disposons ici sont tirées des notes de recherche recueillies par Madame Diane Maheu-Jacques, de Charlesbourg. On ne sait toujours pas quand Louis a traversé la mer vers la Nouvelle-France. Disons seulement que le marchand François Hazeur, de Québec, cherchait deux ébénistes en 1685. Alors qu'il se rendait à Amiens, son village d'origine pour affaires, on croit de plus en plus que c'est à cette époque que Louis fut embauché et embarqué. En effet, les contrats d'engagement et de « passage » pour la Nouvelle-France ont duré trois ans. Louis ayant été employé par François Hazeur jusqu'en 1688, d'après ce que l'on lit dans son contrat de mariage, 1685 est l'année probable de son arrivée ici. Travaillait-il comme ébéniste, selon sa formation, ou comme menuisier ? Seul le contrat d'engagement pouvait nous en informer. Cependant, nous sommes certains, toujours par son contrat de mariage, qu'il vivait au cœur de la place Royale, chez son maître L'année de son mariage, 1688, fut aussi celle de la construction de l'église Notre-Dame- des-Victoires. Y a-t-il travaillé ? On peut le croire puisque M. Hazeur était marguillier de la cathédrale paroissiale dont dépendait cette construction. Pour l'instant, nous n'en savons rien de plus. C'est le 17 mai à la cathédrale Notre-Dame-de-Québec qu'il épouse Antoinette Leroux, fille de François Leroux dit Cardinal. Son père était un ancien soldat du Régiment de Carignan. Sa mère était Marie Renaud, venue à Québec en tant que fille du roi. Peu de temps après, le nouveau couple s'installe à Bourg-Royal, où se forme une seconde ville, à trois kilomètres à l'est de la première, celle de Charlesbourg. L'ébénisterie ne suffit pas à Louis pour subvenir aux besoins de sa famille, car quatre ans plus tard, le 21 septembre 1692, il acquiert une concession de Germain Langlois. Cela lui coûta cent cinquante livres. C'était dans la fourchette de prix de l'endroit : de 150 à 200 livres la terre de pionnier, car un terrain bien bâti, avec maison et grange, se vendait deux mille à trois mille livres. Tout a été payé rapidement; en effet, quittance lui fut remise dans le douzième mois qui suivit, le 23 septembre 1693. Elle concernait quarante arpents de terre dont dix-huit exploitables, avec seulement une grange dessus. Cette terre qui bordait celle de son beau-frère, Ignace Leroux, qui y avait fait construire une maison, et celle de Jean Sigouin, du côté qui allait du nord-ouest au sud-ouest du plat communal. Le terrain faisait partie d'une forme en étoile qui était composée de tous ceux qui entouraient le plat de la ville. C'est pourquoi ses dimensions étaient d'un demi-arpent de front sur le front, 17 arpents en profondeur, et 4 arpents de front sur l'arrière qui bordaient les terres des prêtres jésuites. Au décès de son beau-père François Leroux, Louis renonce à l'héritage au profit de son beau-frère Ignace Leroux. En compensation, ce dernier devait lui fournir neuf jours de dépenses afin de construire une maison. Le contrat est signé le 16 juillet 1694. C'est donc à cette période de leur vie qu'Antoinette et Louis pourront avoir leur propre maison. Leur vie à Bourg-Royal semble s'être déroulée paisiblement, tranquillement, assez modestement. Louis s'est absenté quelques fois en raison de son travail. Plusieurs églises ont donc bénéficié de son talent : mentionnons Sainte-Anne-de-Beaupré, L'Ange-Gardien sur la Côte de Beaupré et Saint-Pierre sur l'Ile d'Orléans. Il a également effectué plusieurs contrats au Collège des Jésuites de Québec. Afin de donner une idée de ce qu'il a pu accomplir, le livre de comptes de la Fabrique de Charlesbourg révèle qu'il a participé à la décoration intérieure de cette église. En 1707, il travaille au chœur ; en 1709, il exécute un dais ; entre 1713 et 1720, il sculpte le retable. Dix enfants sont nés d'Antoinette et de Louis : Geneviève, Nicolas, Louis, Pierre, Charles, Marie-Catherine, Anne, Marie-Madeleine, Thomas et Marie-Thérèse. Quatre seraient victimes de mortalité infantile : Geneviève, Charles, Thomas et Marie-Thérèse."
Father: Nicholas JACQUES b: 1627 in Franleu, France Mother: Marie SOYER b: 1622 in Picardie, France Marriage 1 Antoinette LEROUX - CARDINAL b: 27 Jul 1669 in Beauport, Quebec Married: 17 May 1688 in Quebec, Cathédrale Notre-Dame, Quebec, Canada 1 Children Genevieve JACQUES b: 12 Apr 1689 in Bourg-Royal, Quebec, Canada Nicholas JACQUES b: 27 Sep 1691 in Charlesbourg, Quebec, Canada Louis JACQUES b: 8 Feb 1694 in Charlesbourg, Quebec, Canada Pierre JACQUES b: 10 Mar 1697 in Bourg-Royal, Quebec, Canada Charles JACQUES b: 15 Apr 1700 in Bourg-Royal, Quebec, Canada Marie-Catherine JACQUES b: 30 Apr 1703 in Bourg-Royal, Quebec, Canada Anne Madeleine JACQUES b: 24 Apr 1706 in Bourg-Royal, Quebec, Canada Madeleine JACQUES b: 9 Nov 1708 in Bourg-Royal, Quebec, Canada Thomas JACQUES b: 29 Jun 1711 in Bourg-Royal, Quebec, Canada Therese JACQUES b: 4 Mar 1714 in Bourg-Royal, Quebec, Canada References
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