Family:Jean-Baptiste Lalonde and Julienne Cholette (1)

Watchers
Facts and Events
Marriage[1][2][3][4] 6 Nov 1855 St-Polycarpe, QC, Canada_EVN: 26794
Census[5] 1861 St-Polycarpe, QC, Canada
Census[6][7] 6 Apr 1871 Côteau Landing, QC, Canada
Census[8][9] 1881 St-Télesphore, QC, Canada
Census[10] 15 Apr 1891 [[Place:Montréal [Quartier St-Louis], Québec, Canada|Montréal [Quartier St-Louis], QC, Canada]]
Census[11] 20 Apr 1901 [[Place:Montréal [Quartier St-Jacques], Québec, Canada|Montréal [Quartier St-Jacques], QC, Canada]]
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BirthDeath
1.

Jean-Baptiste Lalonde…ce héro obscur!

Jean-Baptiste est cet enfant qui est venu au monde au cours de l'année 1834. Il semble bien qu'il fut le début de temps plus heureux pour son père Jean-Baptiste. Cet enfant, eut la force et la santé, survécu et prospéra au point de devenir un Voyageur avec tout le courage, la force sous toutes ses formes et la santé que ce métier nécessitait en plus d'être un cultivateur. Nous n'avons qu'à penser aux dangers que le Voyageur était confronté à cette époque. On était encore bien loin des routes pavées et de l'automobile. D'ailleurs ses frères cadets Pierre et Olivier ont également suivit les traces de Jean-Baptiste en étant eux aussi des Voyageurs.

Ces Voyageurs que l'on nommait fréquemment à l'époque "Engagés Ouest" étaient de cette race d'individu téméraire près à sacrifier leur vie pour gagner dûrement leur subsistance. Ce terme employé de Voyageur, désignait nos pionniers que les marchands embauchaient pour transporter leur marchandise de troc avec les amérindiens. Le profit des marchands étaient mirabolant par rapport au léger subside que soutiraient nos Voyageurs. L'engagement se faisait par un contrat notarié et définissait les termes de l'expédition. Le travail consistait par prendre place à bord d'un canot d'écorce de bouleau très léger et souvent très fragile aux écueuils et rapides. Le Voyageur pouvait agir en tant que conducteur du canot ou à titre de membre de l'expédition et rameur. Généralement, ces Voyageurs quittaient avec une cargaison de trucs de négoce à être livré à un poste de traite au départ pour revenir au printemps suivant avec des canots bien rempli et souvent surchargés de ballots de fourrures. Les voyages les plus fréquents partaient de Montréal et les Voyageurs empruntaient la rivière des Outaouais ou Ottawa comme on se plaisait à désigner à l'époque.

Ces Voyageurs ne pouvaient qu'utiliser les transports et les voix de communication disponibles pour l'époque. Le cheval et la charrette n'étaient pas leur moyen de locomotion. L'eau était leur autoroute et le canot leur bolide. À bord de leur canot d'écorce, ils se déplaçaient et allaient dans les pays d'en-Haut.

Jean-Baptiste Lalonde et son épouse Julienne Cholette résidaient en la paroisse de St-Polycarpe en août 1856, en avril 1860 et en juin 1861. Au recensement de 1861, ils y apparaissent sauf que Jean-Baptiste est dit absent. Serait-il parti accompagné ses frères Pierre et Olivier à titre de Voyageur vers les Pays d'en haut? De plus, sa famille ainsi que celle de ses frères Camille, Pierre et Olivier habitaient tous sous le même toit soit un bâtiment fait de bois sur un étage. Ses dits frères Pierre et Olivier qui étaient décrit comme étant Voyageurs sauf Camille sont également absent. Auraient-ils tous obtenu un congé de traite et décidé de tenter leur chance dans la traite des fourrures?

Au recensement de 1891, on le retrouvait en compagnie de son épouse Julienne ainsi qu'une servante répondant au nom de Sophie St-Amand âgée de 43 ans. Selon l'information extirpée du recensement, il s'avère qu'ils résidaient sous le même toit que la famille de leur fille Nathalie dans le quartier St-Louis à Montréal, soit au 55 Ste-Elizabeth (entre de Lagauchetière et Dorchester). De 1891 à 1894, Jean-Baptiste et Julienne demeuraient au 251 de Lagauchetière (entre Wolfe et Amherst) près de la rue Amherst. Alors âgé de près de 60 ans, Jean-Baptiste semble résolu à mener une vie moins trépidante que celle de Voyageur. En 1903, sa fille Nathalie et sa famille habitaient alors au 491 Moreau à Montréal, Jean-Baptiste doit sans doute encore demeurer avec eux car il n'apparait pas au répertoire Lovell.

Jean-Baptiste fut le genre d'homme qui dû trimer dur afin de tracer son chemin. Il appartient à cette race qui a laisser l'empreinte non pas à cause de sa popularité parmi l'élite intellectuel ou bien par la notoriété héritée de père en fils ou au copinage avec les petit amis du pouvoir, mais pour les vraies raisons; le courage et le dur labeur. Il représente ce héro canadien français qui dû se battre pour assurer la survivance des siens et la postérité. Il fit partie intégrante de cet épopée que caractérise si bien nos ancêtres.

C'est ainsi que ma lignée de Lalonde s'est poursuivit grâce, entre autre, à la force de la nature de Baptiste le Voyageur!

Résidaient à St-Polycarpe en juin 1858 et en avril 1863. Résidaient à Ste-Justine de Newton en avril 1865. Cette paroisse venait à peine d'être crée en 1858 mais la première église construite en 1866. Résidaient à St-Télesphore en mars 1878, en janvier 1882 et en septembre 1883.

Au recensement de 1891, recensé chez leur fille Nathalie et son époux, Joseph Lamarche en plus de sa ribambelle d'enfant au 55 Ste-Elizabeth entre de la Gauchetière et Dorchester dans le quartier St-Jacques à Montréal. Une servante répondant au nom de Sophie St-Amand âgée de 43 ans en 1891 y résidait également.

De 1896 à 1898, ils résidaient au 565 Centre entre Charlevoix et d'Argenson dans la Pointe St-Charles. Il est alors qualifié de ferblantier.

De 1898 à 1899, Jean-Baptiste et son épouse Julienne, résidaient à nouveau sous le même toît que la famille de leur fille Nathalie au 1463 Notre-Dame tout juste à l'est de la rue Bonsecour du côté nord. Jean-Baptiste est alors qualifié de ferblantier à nouveau.

De 1899 à 1901, le couple Lalonde-Cholette n'apparaissent plus au Lovell. Cependant, tout porte à croire qu'ils résidaient sous le même toît que la famille de leur fille Nathalie qui venait de déménager au 65a Dubord entre St-Denis et St-Hubert au Carré Viger dans le quartier St-Louis à Montréal. À compter de 1900, Jean-Baptiste ne semble plus actif du coté emploi. Son statut de ferblantier n'y est plus rattaché aux répertoires Lovell. Dailleurs, au champs «profession» du recensement de 1901, la lettre «R» y est inscrite. Cela me porte à croire que ce «R» est pour retraité.

De 1901 à 1904, ainsi qu'au recensement de 1901, ils habitaient encore chez leur fille Nathalie et sa ribambelle d'enfant dans le quartier St-Jacques à Montréal sise au 65a rue Dubord entre St-Denis et St-Hubert au Carré St-Louis. Une servante répondant au nom de Florida Boyer âgée de 16 ans en 1901 y fut également recensées parmis eux. L'année 1903 semble en être une de déménagement pour le couple Lalonde-Cholette ainsi que la famille de leur fille Nathalie. Nous retrouvions la famille de leur fille Nathalie inscrite encore au 65a Dubord et également au 491 Moreau entre Ontario et les futurs Shop Angus. Donc, il y a raison de croire que l'année 1903 en fut une de grand chambardement.

Les Coteaux

Historique de la municipalité

Depuis 1994, l’appellation Les Coteaux désigne le regroupement des municipalités des villages de Coteau-Landing et de Coteau-Station.

Sur les bords du lac Saint-François, au pied d’un joli coteau, on retrouve le secteur de Coteau-Landing. Jadis, l’endroit faisait partie de la seigneurie de la Nouvelle-Longueuil et portait l’enchanteresse dénomination d’Anse-aux-Batteaux en la Côte de Longueuil. Dès la fin du XVIIe siècle, on y érige un poste qui sert de relais pour les voyageurs et ceux qui pratiquent la traite des fourrures. Ce n’est qu’à partir de 1771 que l’endroit sera véritablement colonisé. Le nom descriptif des lieux, évoqué en 1863 par Stanislas Drapeau, souligne le rôle d’endroit de rassemblement des canots et bateaux et figure sur des documents cartographiques du milieu du XVIIIe siècle. Autour de 1815, le nom de Coteau-Landing s’impose (Landing ayant pour sens débarcadère), propagé par les militaires installés à Coteau-du-Lac ainsi que par les commerçants anglais et soulignant la vocation de l’endroit. Cette appellation sera retenue lors de l’établissement du bureau de poste en 1847 et de la municipalité en 1853. À la création du Comté de Soulanges, en 1855, le village sera désigné comme chef-lieu de ce nouveau découpage administratif. Étant donné la situation de la localité à l’extrémité ouest du vieux canal de Soulanges, les Coteau-Landais se sont livrés à diverses activités provoquées par la proximité du canal et d’une écluse qui ont entrainé l’apparition d’un centre-relais avec quai et débarcadère, très largement fréquenté en saison estivale. D’ailleurs, jadis, un navire de bois avec roues à aubes de chaque côté effectuait la navette entre Salaberry-de-Valleyfield et Coteau-Landing.

En 1887, dans la version anglaise du document d’édition de la municipalité du village de Coteau-Station, devenue depuis un secteur des Coteaux, on utilise la forme « municipality of Coteau Station », alors que la transposition française des lettres patentes comporte l’expression « municipalité de la Station-du-Coteau ». Or, malgré l’officialisation de l’appellation La Station-du-Coteau il y a plusieurs années, la dénomination courante Coteau-Station a été officiellement restituée en 1984. Ce lieu, situé en arrière de Coteau-Landing, voisin de Saint-Polycarpe, doit son existence à la compagnie de chemin de fer du Grand Tronc (1855) qui a donné à la gare le nom de Coteau Junction ou Jonction lors de l’inauguration de la ligne Montréal-Toronto (1905). Coteau Junction ou Jonction fut, pendant longtemps, un centre important pour la réparation de l’équipement ferroviaire. La localité est seulement appelée Coteau à partir de 1919 alors que le Grand Tronc devient le Canadien National. Comme on y venait prendre le train, le constituant Junction ou Jonction a été modifié en Station. L’élément Coteau souligne que les terres avoisinantes des bords du fleuve ont d’abord été occupées; ce périmètre était désigné sous l’appellation de Côte ou Coteau. L’hésitation dénominative est tributaire du fait que l’ancien site municipal ne se confond pas tout à fait avec celui de la station. Le territoire relevait du comté de Vaudreuil entre 1830 et 1853 et de celui de Soulanges à compter de cette date, enclos dans la Seigneurie de la Nouvelle-Longueuil. Jusqu’en 1887, les lieux appartenaient à Saint-Polycarpe. Pendant longtemps, le chemin de fer fut la principale source de revenus des Stationnois. Le regroupement des municipalités a amené les citoyens à adopter le gentilé Coteaulois, en 1995.

Source : Gouvernement du Québec / toponymie

References
  1. Family Search. Microfilm des Baptêmes, Mariages et Sépultures. Selon les registres paroissiaux.. (https://familysearch.org/)
    224 de 317.

    Saint-Polycarpe
    1852-1856

  2. Gabriel Drouin, comp. Drouin Collection. Montréal, Québec, Canada: Institut Généalogique Drouin. Microfilm des BMS de Drouin. Selon les registres paroissiaux.. (Provo, UT, USA: Ancestry.com Operations Inc, 2008.)
    53 de 73.

    St-Polycarpe > 1855

  3. Saint-Polycarpe 1818-1990. Répertoire des mariages et des sépultures. (1). (Les Publications Généalogiques Enr.)
    86.
  4. Institut Drouin. Répertoire de mariages de Drouin. (début à 1935)..
  5. Ancestry.ca. Recensement du Canada de 1861. (Ancestry.ca)
    150 de 251.

    Canada East > Soulanges

  6. Ontario Genealogical Society Provincial Index. OGSPI 1871 Census Menu. (http://www.ogs.on.ca/ogspi/welcome.htm)
    17 / Microfilm: C10052 lds0493455.

    PROVINCE Québec
    DISTRICT Soulanges
    CODE DISTRICT
    SOUS DISTRICT Côteau Landing
    FAMILLE 065

  7. Ancestry.ca. Recensement du Canada de 1871. (Ancestry.ca)
    9 de 11.

    Quebec > Soulanges > Côteau Landing Village

  8. PRDH. Les Recensements Historiques du Canada 1852 et 1881.. (http://www.prdh.umontreal.ca/1881Browser/fr)
    12 / Microfilm 13207.

    Le dit âgé de 48 ans.

    PROVINCE Québec
    DISTRICT Soulanges
    CODE DISTRICT 74
    SOUS DISTRICT St-Télesphore
    NO MÉNAGE 284240

  9. Ancestry.ca. Recensement du Canada de 1881. (Ancestry.ca)
    7 de 27.

    Quebec > Soulanges > St Télesphore

  10. Ancestry.ca. Recensement du Canada de 1891. (Ancestry.ca)
    91 de 531.

    Quebec > Montréal Centre > St Louis Ward

  11. Canada. 1901 Census of Canada. (Ottawa, Ontario, Canada: Library and Archives Canada)
    Microfilm T-6534.

    District: QU MONTRÉAL (City/Cité)/176 (#176)
    Subdistrict: Montréal (City/Cité) Saint-Jacques (Ward/Quartier) B-10 Page 18

  12.   Family Search. Microfilm des Baptêmes, Mariages et Sépultures. Selon les registres paroissiaux.. (https://familysearch.org/)
    282 de 317.

    Mention à cet effet au registre lors du baptême du mariage de son fils Jean-Baptiste en août 1856.

    Saint-Polycarpe
    1852-1856

  13.   Ancestry.ca. Recensement du Canada de 1861. (Ancestry.ca)
    150 de 251.

    Analyse fait des informations extirpées du recensement.

    Canada East > Soulanges

  14.   Gabriel Drouin, comp. Drouin Collection. Montréal, Québec, Canada: Institut Généalogique Drouin. Microfilm des BMS de Drouin. Selon les registres paroissiaux.. (Provo, UT, USA: Ancestry.com Operations Inc, 2008.)
    21 de 66.

    St-Polycarpe > 1860

  15.   Gabriel Drouin, comp. Drouin Collection. Montréal, Québec, Canada: Institut Généalogique Drouin. Microfilm des BMS de Drouin. Selon les registres paroissiaux.. (Provo, UT, USA: Ancestry.com Operations Inc, 2008.)
    /53.

    Mentionné lors de son mariage et lors du baptême de leur fils William en 1861.

    St-Polycarpe > 1861

  16.   John Lovell & Son Limited. 423 à 429 rue St-Nicolas, Montréal. Bibliothèque et Archives Nationales du Québec. (http://bibnum2.bnquebec.ca/bna/lovell/index.html)
    561.

    Voir sous Joseph Lamarche.

  17.   Ancestry.ca. Recensement du Canada de 1891. (Ancestry.ca)
    91 de 531.

    Analyse fait des informations extirpées du recensement.

    Quebec > Montréal Centre > St Louis Ward

  18.   John Lovell & Son Limited. 423 à 429 rue St-Nicolas, Montréal. Bibliothèque et Archives Nationales du Québec. (http://bibnum2.bnquebec.ca/bna/lovell/index.html)
    187 / 191 / 196, 622.

    1891 - 1892
    1892 - 1893
    1893 - 1894

  19.   John Lovell & Son Limited. 423 à 429 rue St-Nicolas, Montréal. Bibliothèque et Archives Nationales du Québec. (http://bibnum2.bnquebec.ca/bna/lovell/index.html)
    396.

    Analyse fait des informations extirpées du répertoire.

    1903-04

  20.   Family Search. Microfilm des Baptêmes, Mariages et Sépultures. Selon les registres paroissiaux.. (https://familysearch.org/)
    159 de 1114.

    Mention à cet effet au registre lors du baptême de leur fille Nathalie en juin 1858.

    Saint-Polycarpe
    1857-1861

  21.   Family Search. Microfilm des Baptêmes, Mariages et Sépultures. Selon les registres paroissiaux.. (https://familysearch.org/)
    35 de 250.

    Analyse fait des informations extirpées du registre suite au baptême de leur fille Edesse en avril 1865.

    Sainte-Justine-de-Newton
    Baptêmes, mariages, sépultures 1865-1876

  22.   Family Search. Microfilm des Baptêmes, Mariages et Sépultures. Selon les registres paroissiaux.. (https://familysearch.org/)
    917 de 1286.

    Mention à cet effet au mariage de leur fils Jean-Baptiste en mars 1878.

    Montréal > Saint-Jacques-le-Majeur > Baptêmes, mariages, sépultures 1874-1879

  23.   Gabriel Drouin, comp. Drouin Collection. Montréal, Québec, Canada: Institut Généalogique Drouin. Microfilm des BMS de Drouin. Selon les registres paroissiaux.. (Provo, UT, USA: Ancestry.com Operations Inc, 2008.)
    17 de 112.

    Mention à cet effet au registre lors du mariage de leur fils Jean-Baptiste en mars 1878.

    Montréal (St-Jacques) (Montréal (St-Jacques-le-Majeur, cathédrale)) > 1878

  24.   Family Search. Microfilm des Baptêmes, Mariages et Sépultures. Selon les registres paroissiaux.. (https://familysearch.org/)
    89 de 413.

    Mention à cet effet au registre lors du mariage de leur fille Edesse en janvier 1882.

    Saint-Télesphore
    Baptêmes, mariages, sépultures 1877-1899

  25.   Gabriel Drouin, comp. Drouin Collection. Montréal, Québec, Canada: Institut Généalogique Drouin. Microfilm des BMS de Drouin. Selon les registres paroissiaux.. (Provo, UT, USA: Ancestry.com Operations Inc, 2008.)
    10 de 17.

    Mention à cet effet au registre lors du mariage de leur fils William en septembre 1883.

    St-Télesphore > 1883

  26.   John Lovell & Son Limited. 423 à 429 rue St-Nicolas, Montréal. Bibliothèque et Archives Nationales du Québec. (http://bibnum2.bnquebec.ca/bna/lovell/index.html)
    152,739 /154,772,774/75, 799 / inex / inex / 313, 1020 / 1042 / 321, 396.

    1896 - 1897
    1897 - 1898
    1898 - 1899
    1899 - 1900
    1900 - 1901
    1901 - 1902
    1902 - 1903
    1903 - 1904

  27.   Ancestry.ca. Recensement du Canada de 1901. (Ancestry.ca)
    138 de 1028.

    Quebec > Montréal (City/Cité) > Montréal (City/Cité) Saint-Jacques (Ward/Quartier)

  28.   Gabriel Drouin, comp. Drouin Collection. Montréal, Québec, Canada: Institut Généalogique Drouin. Microfilm des BMS de Drouin. Selon les registres paroissiaux.. (Provo, UT, USA: Ancestry.com Operations Inc, 2008.)
    21 de 68.