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m. 10 Jul 1820 St-Cuthbert, QC, Canada
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Résidaient à St-Cuthbert en août 1821 et en mai 1828. Résidaient à St-Ambroise de Kildare en 1852. Une certaine Théotiste Baril âgée de 69 ans vivait sous leur toît. Elle était sans doute une proche parente de la mère de Marguerite qui était également une Baril dite Grandpré. Au mariage de leur fille Zoé en juin 1859, ils sont dit résidant dans la paroisse Notre-Dame de Montréal. Résidaient chez leur fils Cyrille à Berthier au recensement de 1871. Rendu veuve, Marguerite habitait toujours chez le plus jeune de ses enfants à St-Gabriel-de-Brandon au recenesement de 1881. Historique de St-Gabriel de Brandon Comme toutes les régions de la MRC, les terres de Saint-Gabriel étaient visitées par les Indiens. Dans cette portion, on croit que ce sont les Abénaquis qui fréquentaient le territoire à une époque où le commerce de la fourrure était prisé. Le tout premier colon à obtenir un terrain dans cette seigneurie concédée en 1750 au sieur Charles-François Tarieu de Lanaudière est Jesse Armstrong (1783). M. Armstrong, écossais d'origine, est imité par de nombreux Irlandais. Cependant, ce n'est que vers 1830 qu'on dénote l'arrivée de Canadiens français dans ce secteur qui est d'abord appelé Canton de Brandon puis Mission du lac Maskinongé jusqu'en 1836. Le transport ferroviaire a contribué fortement à l'essor du commerce du bois. En 1888, le Canadien Pacifique relie Saint-Gabriel à Montréal. Le moulin à scie des McLaren emploie une centaine d'hommes qui sortent plus de cent wagons de bois de pulpe par an. L'épuisement de la ressource forestière engendre inévitablement la fermeture des moulins. On dénote une grande activité dans le domaine des fours à charbon de bois. La compagnie Canadien Charcoal Co. Ltd exploite sept (7) fours de 1912 à 1922 jusqu'à ce que le feu mette un terme aux activités. Saint-Gabriel-de-Brandon offre de nos jours des sites enchanteurs pour les motoneigistes et les adeptes de VTT. La plage est aussi un endroit privilégié pour profiter pleinement des beaux jours d'été. Texte fourni par la CDTA. Historique de St-Cuthbert Cette terre voit l'arrivée des premiers colons en 1740. À cette époque, ce n'est qu'une partie des seigneuries de Berthier, Du Sablé et du Petit Bruno ainsi que du fief Chicot. En 1766, le seigneur James Cuthbert, ancien aide de camp du général Wolfe, fait don de ses terres à la fabrique, sous conditions qu'elles portent son nom. À une petite chapelle en bois, bâtie en 1767, succède l'église de pierres, construite en 1879 et qui fait encore de nos jours la fierté de ses habitants. Le presbytère bâti en 1876 fut sauvé de la démolition et classé monument historique le 15 février 1980. Dans les années qui suivent, une célèbre corvée des citoyens lui refait une beauté. Un personnage illustre est né à Saint-Cuthbert, François-Marie Thomas, chevalier De Lorimier. Il va s'engager politiquement et devenir un personnage important dans ce qu'on appelle la rébellion contre le pouvoir anglais de 1837-1838. La veille de sa pendaison, il écrit son testament politique qui constitue l'une des oeuvres les plus intéressantes de la littérature politique québécoise. Ce village a depuis toujours une vocation essentiellement agricole. Elle est la municipalité la plus importante en agriculture sur la rive nord du Saint-Laurent, d'autant plus que la paroisse de Saint-Viateur, détachée de Saint-Cuthbert en 1909, est de nouveau regroupée avec celle-ci depuis le 7 janvier 1998. Son sous-sol fourni une eau d'une qualité supérieure exploitée et distribuée partout en province. Texte fourni par la CDTA. References
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